Sylven Floodeur prématuré
Inscrit le: 24 Sep 2008 Messages: 576 Sujets: 33 Spécialité en worldedit: Se casser la tête pour un truc simple.
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Posté le: 12/11/08 12:11 Sujet du message: Monde réel ou imaginaire? |
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Traversant un champ de mais bien jaune, j’entendis une voix lointaine qui me dit :
-JEAN ! VIEN ICI TOUS DE SUITE !
Cette voix, c’est celle de mon père. Il a 41 ans, il est alcoolique, et me maltraite. Depuis la mort de ma mère, il est devenu presque fou. J’essaie toujours de lui faire plaisir, mais tous ce que j’ai en retour c’est une paire de baffe. Courant pour allez le rejoindre, il cria au passage :
-VIEN LA, TE PRENDRE UNE BAFFE !
Cette fois, j’avais peur, il avait beaucoup plus bue qu’a la normal. Pendant ma course pour la rejoindre, mes penser s’activer très rapidement puis mon cerveau m’ordonna de faire un demi tour et de partir dans les bois. De toute façon, il ne le remarquera même pas.
Je courais, courait, encore est encore, les branche me fouetter sur mon passage, je trébucher. Si quelqu’un m’avais vu, il aurait pensé que le diable était derrière moi. Pendant ma course effrénée, je perdis tous sens de l’orientation. Je devais allez vers l’ouest ? Le sud ? Le Nord ? Je ne savais pas. Les bois étaient sombres, j’avais une désagréable impression d’être observé.
Essoufflé, je m’arrêta dans une petit clairière qui était traverser par un cour d’eau d’une couleur pure est claire. J’étais à la fois émerveiller et terroriser par cet endroit, une chose retint mon attention, au centre de la clairière était placer deux monolithe, entre les deux monolithe, il neiger. Jean, ne comprenait plus rien, j’avais il n’avais vu la neige en plein mois d’été, curieux, il s’avança et regarda derrière les monolithe. La seule chose qui vu, c’est une forêt, celle qui va chez sont père, il était maintenant terroriser. D’une main frêle, il la passa de l’autre coter du « portail », il sentie immédiatement la morsure du froid, encore plus déterminé, il passa sont corps en entier. Il vit une clairière recouverte de neige, mais pire encore, un village. Jean pensais a ce moment qu’il rêvé, mais toute penser partie quand il reçu un choc derrière le crâne.
Je courrais, encore est encore. Une horde de cavalier me poursuivait armer jusqu’au dent. Je tourner la tête sens cesse pour voir leur avançais, sans regarder ou je mets les pieds, je tombai encore est encore.
Je hurlai et me releva, une femme a mes côté sursauta et ce retourna. Deux hommes armés rentrée avec leur épée hors de leur fourreau. La femme donna un bref mot dans une langue inconnue est redonna toute sont intention en vers le jeune garçon, Jean. Il observa la pièce, elle était petite, sans meuble juste des pots de céramique posé dans un coin et un feu au milieu.
La suite plus tard _________________
La complexité a été crée par les incapables de mon genre qui ne comprennent pas le simple. |
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